batiment haussmanien à paris

L’immobilier demeure l’un des secteurs les plus lucratifs sur le long terme en matière d’investissement. Grâce à un placement réfléchi, il est possible d’acheter, de revendre ou encore de louer un bien immobilier afin d’en tirer des bénéfices conséquents.

Toutefois, l’impact négatif de la crise économique sur ce secteur soulève de nombreuses interrogations quant au bien-fondé de l’investissement en France ou à l’étranger. Obtenez ici quelques éclaircissements sur le sujet.

L’immobilier neuf en France : un secteur en pleine explosion

Si l’on en croit une étude réalisée par la Fédération des promoteurs immobiliers (FPI), les prévisions économiques pour le secteur de l’immobilier (neuf en particulier) sont très encourageantes. À cet effet, il reste l’investissement privilégié de 70 % des Français. De nombreux facteurs incitent ainsi les investisseurs à passer à l’action dès maintenant.

Une demande d’immobilier neuf extrêmement élevé

À la suite de la crise économique, de nombreux chantiers ont été mis aux arrêts. La conséquence directe est la suivante : la demande dans le secteur de l’immobilier est forte, comparativement à une offre très faible. Investir aujourd’hui dans ce secteur, c’est miser sur la hausse des prix de l’immobilier qu’entraîne ce déséquilibre du ratio offre/demande.

À cet effet, il existe de nombreux projets immobiliers avec lesquels vous pouvez constituer un excellent capital physique. Il vous suffit ainsi de vous rendre sur novanea.fr par exemple pour découvrir des programmes immobiliers neufs en France qui répondent à vos attentes.

Des aides à l’investissement en France

Les nouveaux biens font aujourd’hui l’objet d’une réévaluation à la baisse des prix aux m² pour faciliter l’accès à toutes les couches sociales. Le gouvernement français a également mis en place de nombreuses politiques à l’endroit des investisseurs. Il s’agit entre autres :

  • du prêt à taux zéro (PTZ) pour tous les primo-accédants,
  • du dispositif Pinel qui permet de bénéficier d’une réduction d’impôts sur le revenu,
  • et du dispositif Denormandie qui se présente sous la forme d’une réduction d’impôts plafonnée par un investissement maximum de 300 000 euros.

Des personnes auparavant non éligibles ont désormais la possibilité de souscrire des prêts immobiliers grâce à ces aides à l’investissement.

immobilier

L’immobilier en France ou à l’étranger : le point

Dans les pays comme le Portugal ou encore l’Espagne, le prix d’achat de certains biens immobiliers est relativement moins élevé qu’en France. Ces offres pourtant alléchantes constituent pour les investisseurs français un pari risqué.

Des difficultés à obtenir le soutien des banques

Les banques sont beaucoup plus réticentes à l’idée d’octroyer un prêt pour un bien situé à l’extérieur du pays. Cela est compréhensible, car elles ne maîtrisent pas l’économie de ce pays et encore moins son environnement immobilier.

Malgré tout, lorsqu’elles répondent favorablement à cette demande de prêt, les taux d’intérêt sont le plus souvent élevés. Les termes du contrat ne prennent pas non plus en compte les avantages fiscaux qu’apportent les dispositions du gouvernement français tels que la réduction de l’impôt (Loi Pinel).

Un bénéfice incertain

Il faut craindre également un rendement locatif faible qui ne garantit pas un bon retour sur investissement. Pour finir, les biens immobiliers acquis par un résident en France peuvent être soumis à la double imposition qui réduit considérablement le bénéfice de l’investisseur.

Que conclure ? L’investissement immobilier est plébiscité aujourd’hui en raison de la demande en logements neufs qui ne cesse d’augmenter et des avantages fiscaux qui en découlent. La France se présente alors comme un environnement favorable à l’immobilier où chaque investisseur peut tirer profit de son placement sur le long terme.